Crème de poivrons rouges au mascarpone

Si vous saviez l’adoration que je voue au poivron sous toutes ses formes… Piments doux, piquillos, poivrons jaunes, rouges, oranges, violets, et même verts quand ils ne sont pas amers. Et puis les piments, du moment qu’ils n’emportent pas complètement la bouche…

Mais à Dakar, les poivrons sont rares et se vendent plutôt cher. Pas comme les piments, qui sont légion, et qui sont du genre très très fort. Hier, en faisant le plein de fruits et légumes, je suis tombée sur un lot de fruits charnus et brillants, encore dans leur carton – en provenance du Maroc. Une aubaine ! Je rêvais de confectionner une soupe à base de poivrons depuis plusieurs semaines…

Crème de poivrons rouges au mascarpone

Pour 4 à 6 personnes (selon que l’on en fait une entrée ou un plat principal) :
– 1 kg de poivrons rouges (ou un mélange de rouge et de jaunes / oranges… pas de verts dans cette recette)
– 1/2 litre de bouillon de volaille (environ)
– 15 cl de coulis de tomates
– 1 c. à soupe d’huile d’olive
– 2 gousses d’ail
– 1 oignon
– 1/2 c. à café de paprika doux (ou de piment d’Espelette si vous préférez un peu plus piquant)
– 2. c. à soupe de mascarpone
– 1/2 c. à café de sucre
– basilic ou persil ou coriandre pour le décor (à mon sens c’est le basilic qui s’accorde le mieux avec le poivron mais là, je n’avais que de la coriandre en stock…)

1. Allumer le four sur position gril et faire griller les poivrons entiers en les retournant régulièrement, jusqu’à ce que la peau soit boursouflée. Les laisser reposer quelques minutes dans une boîte fermée ou un sac plastique pour qu’ils étuvent. Les pelersoigneusement en prenant soin de retirer le maximum de graines. Garder le jus qui s’écoule.

2. Dans une casserole, faire revenir tout doucement l’ail et l’oignon hachés dans l’huile d’olive. Ajouter les poivrons, le coulis de tomates, le bouillon de volaille, lesucre. Porter à ébullition et laisser mijoter 5 minutes.

3. Retirer du feu, ajouter le paprika et quelques feuilles de basilic ou de coriandreainsi que le mascarpone et mixer finement. Rectifier l’assaisonnement en poivre et sel au besoin.

Je sers ce velouté aux couleurs éclatantes avec des tranches de pain de campagne grillées et frottées d’ail sur lesquelles je verse un filet d’huile d’olive. Selon la saison, on peut le consommer chaud ou froid. Un pur délice !

Sorbet litchi-rose

C’est la saison des litchis… et par chance, cette année, ils sont arrivés jusqu’à Dakar, alors que l’année dernière, je n’en ai pas croisé un seul. Ici la température « hivernale » se prête sans problème à la dégustation de sorbets, je me suis donc lancée illico dans l’aventure, frustrée de ne pouvoir m’acheter le « litchi-rose » de François Théron chez Picard ! Mais c’est si bon que même par -10°C, on ne peut résister à un sorbet aussi parfumé !

Sorbet litchi-rose

Pour 2 personnes :

– 300 g de litchis frais (poids des fruits pelés et dénoyautés)

– 100 g d’eau (= 100 ml)

– 80 g de sucre en poudre

– 2 cuillères à soupe de jus de citron ou de citron vert

– 1 ou 2 cuillères à soupe d’eau de rose (selon le goût)

– facultatif : quelques gouttes de colorant alimentaire rouge pour obtenir une belle couleur rose

1. Peler et dénoyauter les litchis, mixer soigneusement la chair avec le jus de citron, chinoiser au besoin pour enlever les morceaux restants.

2. Faire bouillir l’eau et le sucre pendant 2 minutes. Ajouter l’eau de rose et le colorant alimentaire. Laisser refroidir.

3. Verser le sirop dans la purée de fruits. Faire prendre en sorbetière puis placer au congélateur au moins 6 heures avant de servir.

Si par hasard vous tentez de faire cette recette avec des litchis en boîte (évidemment çà n’a rien à voir avec les frais question parfum), il faudra diminuer la proportion de sucre, sinon le sorbet risque de ne pas prendre.

Dolce di ricotta al limone (cheesecake italien)

La folie du cheesecake s’est emparée de moi depuis que je me suis offert le petit livre de Kéda Black, paru chez Marabout, que tout le monde connaît ou presque… Une merveille !

Si je vénère tout particulièrement la version crémeuse d’un cheesecake à l’américaine, je ne déteste pas les gâteaux au fromage plus mousseux et aérés que l’on déguste, entre autres, dans les pays germaniques (Käsekuchen und so weiter…)

C’est une version méditerranéenne du cheesecake que je vous propose ici.

Un gâteau d’autant plus léger qu’il n’y a pas de croûte de biscuits. Une adaptation toute personnelle des desserts à base de ricotta que l’on trouve en Italie, et qui sentent bon le citron, la cannelle et la fleur d’oranger. Ce « dolce di ricotta al limone » vous rappellera un peu le fiadone corse que l’on réalise avec du brocciu.

Il n’est d’ailleurs pas interdit de remplacer la ricotta par le fromage frais de brebis que l’on trouve dans l’Île de beauté… Encore une alternative possible au traditionnel cheesecake !

Dolce di ricotta al limone

Pour 6 personnes :
– 500 g de ricotta
– 4 œufs
– 4 cuillères à soupe de semoule fine de blé dur
– 8 à 12 cuillères à soupe de sucre (à moduler selon le goût)
– 2 cuillères à soupe d’écorces de citron confites, détaillées en petits dés
– le zeste d’un citron jaune non traité, râpé
– 4 cuillères à soupe de raisins de Corinthe
– 1/2 cuillères à café de cannelle
– 2 cuillères à soupe d’un alcool au choix (limoncello si possible)
– un autre citron jaune non traité et/ou un peu de lemon curd (pour la touche finale)

1. Mettre la semoule, les raisins secs et les écorces de citron confites à tremper dans 10 cl d’eau additionnée des 2 cuillères à soupe d’alcool.
Préchauffer le four à 150°C.

2. Séparer les jaunes des blancs d’œufs. Travailler les jaunes avec le sucre au fouet électrique, ajouter le zeste de citron et la cannelle. Ajouter la ricotta et battre quelques secondes pour homogénéiser le tout.

3. Ajouter le mélange semoule, raisins et écorces confites.

4. Battre les blancs en neige ferme avec une pincée de sel et les incorporer délicatement à la préparation.

5. Verser la pâte dans un moule beurré à charnière (impératif) de 20 cm de diamètre (pas plus grand sinon le résultat sera très plat). Faire cuire 45 à 50 minutes environ. Le dessus doit être blond, les bords un peu plus colorés. Laisser refroidir à température ambiante puis mettre 2 heures au réfrigérateur avant de démouler. Avant de servir, tartiner le dessus du gâteau de lemon curd et/ou décorer de zestes de citron taillés en fines lanières.

On peut réaliser cette recette comme un « vrai » cheesecake, avec une croûte de biscuits, une pâte sablée ou brisée.

Confiture de bananes au lait de coco

D’habitude, je n’aime pas du tout la confiture de bananes : trop sucrée et/ou trop cuite à mon goût, ce qui lui donne le plus souvent une vilaine couleur marron qui n’a rien à voir avec le fruit d’origine. Sans parler de la consistance, à la fois trop liquide et vaguement farineuse.

Cette recette improvisée pour un sauvetage de fruits très mûrs, avec de la pectine en sachet, m’a donné envie d’en refaire. L’avantage, c’est que la cuisson est ultra rapide et qu’on met beaucoup moins de sucre. Résulat, la banane reste d’une jolie couleur jaune et ne devient pas écoeurante. L’ajout de citron vert apporte une note d’acidité, tandis que le lait de coco donne une consistance encore plus veloutée et ce petit goût des îles en plus…

Confiture de bananes au lait de coco

Pour 2 pots de taille standard (format 370g / 325 ml de Bonne Maman) :

– 500 g de bananes bien mûres (il s’agit du poids des fruits épluchés)
– 2 citrons verts
– 1/2 sachet de Vitpris Alsa
– 300 g de sucre
– 10 cl de lait de coco

1. Détailler les bananes en rondelles. Râper le zeste d’un citron vert, presser le jus des deux citrons. Mélanger le tout.

2. Verser les fruits dans une marmite à fond épais et faire cuire à feu doux pendant 10 minutes environ.

3. Pendant ce temps mélanger la moitié d’un sachet de Vitpris avec 1 cuillère à soupe de sucre. Ajouter le Vitpris aux fruits, bien mélanger et faire cuire 3 minutes. Ajouter le reste de sucre et faire cuire encore 3 minutes.

4. Ajouter alors le lait de coco, ramener à ébullition 1 minute et retirer du feu.

5. Ecraser ou mixer légèrement les morceaux de bananes si nécessaire et mettre en pots.

Cette confiture se conserve 2 à 3 mois à l’abri de la lumière, de la chaleur et de l’humidité… Si ces conditions sont difficiles à réunir (comme ici…) on peut la mettre directement au réfrigérateur.

Ananas au caramel de lait de coco

Un savoureux caramel enrobant des tranches d’ananas poêlées… c’est un dessert tout simple prêt en 15 minutes et qui fait son petit effet. Particulièrement recommandé pour « améliorer » un ananas qui se révèle moins bon que prévu… Attention, c’est assez sucré. Ne prenez pas de l’ananas au sirop ou au jus en boîte, mais un fruit frais, le résultat sera incomparable.

Ananas au caramel de lait de coco

Pour 4 personnes :
– 1 gros ananas ou 2 petits, mûrs à point
– 100 g de sucre ou de cassonade
– 15 cl de lait de coco
– 4 cuillères à soupe de noix de coco râpée

1. Préparer l’ananas. Le couper en tranches d’1/2 centimètre d’épaisseur.

2. Faire chauffer le sucre à sec dans une grande poêle à revêtement antiadhésif, sans remuer, jusqu’à obtenir une couleur rousse. Ajouter l’ananas, laisser caraméliser en retournant de temps en temps les tranches.

3. Ajouter le lait de coco, remuer délicatement pour homogénéiser la sauce ainsi obtenue.Servir tiède ou frais, saupoudré de noix de coco râpée.

Poires épicées au Banyuls, sorbet chocolat amer

L’idée de ce dessert m’est venue en parcourant le blog de Pascale Weeks et en tombant sur ses Poires pochées au Porto et aux épices. Je me suis dit que l’alliance Banyuls-épices-chocolat-poires serait intéressante… et puis j’avais très envie, depuis un moment, de réaliser un sorbet au chocolat noir. Voilà comment ces poires au Banyuls ont vu le jour !

Il vaut mieux préparer les poires un peu à l’avance, elles auront ainsi tout le temps de s’imprégner de la couleur ambrée et du parfum du sirop au Banyuls et aux épices.

Poires épicées au Banyuls, sorbet chocolat amer

Pour 6 personnes :

Pour les poires pochées :
– 6 poires (Williams de préférence) mûres mais fermes
– 30 cl de Banyuls (vin doux naturel)
– 15 cl d’eau
– 1 bâton de cannelle
– 2 étoiles de badiane (anis étoilé)
– 5 gousses de cardamome verte entières
– 1 cuillère à café de mélange 5 baies (à défaut prendre du poivre noir en grains)
– 100 g de sucre en poudre

Pour le sorbet au chocolat amer :
– 200g de chocolat noir à 64% de cacao minimum (si possible de marque Valrhona ou d’une autre excellente marque)
– 80g de poudre de cacao (non sucré)
– 50 cl d’eau
– 100g de sucre

1. Porter à ébullition l’eau, le banyuls, les épices entières et le sucre dans une large sauteuse. Pendant ce temps éplucher les poires, les couper en deux, retirer les coeurs et les parties filandreuses.

2. Disposer les poires en une seule couche dans la sauteuse, faire pocher à feu doux en les retournant régulièrement (cela prend entre 5 et 15 minutes selon leur degré de maturité et leur teneur en eau…) Retirer les poires de la sauteuse.

3. Faire réduire le sirop au Banyuls pendant quelques minutes. Verser ce sirop (et les épices entières) sur les poires, laisser refroidir et réserver au frais au moins 4 heures, voire jusqu’au lendemain.

4. Préparer le sorbet au chocolat. Pour cela faire chauffer l’eau et le sucre. Pendant ce temps, casser le chocolat en morceaux et tamiser le cacao en poudre.

5. Lorsque le sirop bout, verser le cacao en poudre. Fouetter vivement pour le dissoudre, puis ajouter le chocolat en morceaux. Laisser refroidir la préparation, filtrer et faire prendre en sorbetière, puis au congélateur pendant au moins 4h.

6. Au moment de servir, disposer deux moitiés de poire, un peu de sirop, une boule ou deux de sorbet chocolat et décorer avec les épices. Déguster sans tarder…

Muffins moelleux au miel, citron et thym

Les muffins moelleux miel citron thym ont décroché un prix sur le site cuisine d’Elle… sauf que c’est un « plagiaire » qui avait posté la recette en la reprenant d’un autre site de cuisie! Comme dirait Calimero : « c’est vraiment trop inzuste ! »

Rien que pour mes lecteurs, donc, voici la recette des « fameux » muffins (avec interdiction formelle de la divulguer, compris ?!)

Muffins moelleux au miel, citron et thym

Pour environ 6 muffins ou 12 mini muffins (vous pouvez utiliser des moules à cannelés pour les faire, comme ici) :

– 220 g de farine

– 50 g de cassonade

– 2 cuillères à café de levure chimique

– 1 cuillères à café de bicarbonate de soude

– 2 œufs battus

– 125 ml de miel (miel de garrigue ou miel de romarin par exemple)

– le zeste finement râpé d’1 citron jaune

– 125 ml de jus de citron (on peut mélanger citron jaune et vert si on veut)

– 75 g de beurre demi-sel ramolli (avec du beurre doux mettre 1/2 cuillère à café de sel dans la pâte)

– quelques branches de thym frais soigneusement effeuillées (à moduler selon le goût : 1 cuillère à café environ)

1. Préchauffer le four à 190°C. Dans une jatte, verser la farine, la levure, le sucre et le bicarbonate.

2. Dans un autre récipient battre les œufs, ajouter le miel (légèrement tiédi s’il n’est pas liquide à l’état naturel), le jus de citron et l’arôme de citron, le thym effeuillé et le beurre.

3. Mélanger le tout à la fourchette, sans battre. La pâte doit rester un peu grumeleuse.

4. Remplir les moules (beurrés s’ils ne sont pas en silicone) de pâte aux 2/3. Faire cuire 15 à 20 minutes selon la taille des moules et la puissance de votre four… Laisser tiédir puis démouler sur une grille.

Ces muffins sont délicieux tièdes. Une variante plus « méditerranéenne » consiste à remplacer le beurre par 5 cuillères à soupe d’huile d’olive de très bonne qualité (choisir une huile fruitée, sans amertume ni acidité excessives).

 

Gelée de fleurs d’hibiscus (bissap)

Bissap, karkadé ou thé rose d’Abyssinie, groseille de Noël, roselle, oseille de Guinée… En dehors de la délicieuse décoction servie, entre autres, au Sénégal et en Egypte, les fleurs séchées de l’hibiscus sabdariffa se prêtent à toutes sortes de préparations : sirops, soupes de fruits, confitures…

 

Depuis que je vis à Dakar les gelées de fruits rouges brillent par leur absence au petit déjeuner… J’ai donc tenté de combler ce vide. Il y a quelques mois, j’ai essayé de confectionner une gelée de bissap. Le résultat est épatant : la couleur, le côté acidulé, le parfum rappellent la mûre et le cassis.

Cette gelée est délicieuse sur des tartines beurrées ou avec de la brioche. En plus, elle est ultra rapide à réaliser. L’utilisation de pectine est indispensable car le bissap n’en contient pas. Quant aux fleurs, on les trouve assez facilement dans les épiceries exotiques, d’après ce que j’ai pu constater lors de mon dernier séjour en France.

Gelée de fleurs d’hibiscus (bissap)

Pour environ 2 à 3 pots standard (325 ml / 370g) :
– 100 g de fleurs d’hibiscus sabdariffa séchées (en épiceries exotiques, ça se trouve assez facilement maintenant)
– 1 litre d’eau de source
– 1sachet de Vitpris (pectine de la marque Alsa)
– sucre semoule

1. Rincer plusieurs fois les fleurs d’hibiscus à l’eau froide pour les débarrasser d’éventuels résidus de sable ou de terre. Les plonger dans 1 litre d’eau, porter à ébullition et laisser bouillir à couvert environ 15 minutes. On obtient une décoction très foncée.

2. Filtrer ce jus dans une passoire fine éventuellement doublée d’une étamine (vivement conseillé si le bissap est très « sableux » comme ici en Afrique).

3. Peser le jus obtenu : en général on obtient environ 500 à 600 g de jus. Préparer le même poids de sucre.

4. Prélever 2 cuillères à soupe de sucre et mélanger au sachet de Vitpris. Verser dans le jus de bissap, mélanger au fouet. Porter à ébullition et laisser bouillir 1 minute.

5. Ajouter le reste du sucre, porter à nouveau à ébullition. Laisser bouillir 3 minutes, pas plus, en écumant les impuretés.

6. Mettre en pots et laisser refroidir. La prise se fera progressivement dans les heures suivantes. Consommer dans les 6 mois.

Si on aime les gelées moins sucrées on peut réduire sans problème à 450 g de sucre pour 600 g de jus. Attention cependant à ne pas diminuer plus car le bissap est par nature très acide. On peut agrémenter la préparation d’un trait de sirop ou de crème de cassis, de quelques feuilles de menthe, du poivre de sichuan, d’eau de fleur d’oranger, de gingembre frais râpé, de vanille…

Du chant plein les casseroles

Pourquoi Du chant plein les casseroles ? Parce que dans ma vie professionnelle, c’est à dire ma vie non virtuelle (encore que… vous allez voir qu’elle l’est un peu) la musique tient la seconde place, après l’Homme de ma vie bien sûr. Et la cuisine, la troisième place.

Depuis que je suis expatriée dans un pays, le Sénégal, qui ne m’offre pas la possibilité de continuer mes activités musicologiques à plein temps, j’ai décidé de faire de la musique autrement. Avec des casseroles : j’ambitionne rien moins que de rendre totalement absurde l’expression « chanter faux comme une casserole » !

La cuisine est donc une vieille passion. Une passion qui s’est réveillée au Sénégal. Parce que j’ai plus de temps, mais aussi par nécessité : les supermarchés et les marchés ne regorgent pas des innombrables produits que l’on trouve en Europe. Il faut tout faire soi-même, si on veut manger autre chose que du poisson grillé et du riz nature.

Comme je suis incapable de suivre une recette à la lettre, que j’y mets toujours mon grain de sel, j’ai voulu à travers ce blog garder une trace de mes expériences culinaires. Mais je souhaite aussi vous faire partager mes petits trucs et astuces, échanger des idées (depuis le temps que je pique celles des autres blogueurs culinaires…), bref, vous faire partager mes symphonies gastronomiques et aussi mes « pains » (couacs) casseroliers.

J’aime l’éclectisme, l’exotisme, la nouveauté : découvrir, apprendre, goûter, revisiter les classiques, ou ne pas les revisiter du tout…

Voilà en quelques mots, je me mets tout de suite au tri des recettes et des photos accumulées sur mon disque dur.

A très bientôt !